Ce texte doit être lu par quelqu'un de coincé de préférence , en remplaçant
soigneusement les acteurs par des amis dans l'assemble...
H__________(Homme)
F__________(Femme)
Par une belle journée de juillet, je croisai F__________, cette grosse salope vicieuse avait une fente à plaisir qui me fit bander comme un cerf séance tenante. Je lui proposai un tournoi de pine au cul dans les chiottes du parking. Mon copain H__________, extirpant son effroyable braquemard gluant, l'enfonça d'un coup sec au fond de la gorge de F__________. Au même moment, lui arrachant sauvagement son cache-motte poisseux, je la plantais sans vergogne, lui écrasant la moule avec mon gland visqueux. Je lui fourrai ma pioche tendue et dégoulinante dans sa chatte puante jusqu'aux balles. Alors, H__________, qu'est-ce que t'attends pour la bourrer, cette sale pute. Ne se faisant pas prier, H__________ se rua de plus belle, la bave aux lèvres, cognant à ne plus en pouvoir la gamelle à sperme de F__________ avec son épouvantable gourdin turgescent Aboyant de plaisir, la grosse F__________ en rut nous supplia de lui bourrer la cage à chocolat. H__________ S'extirpa de son orifice suintant, et, retournant la jouisseuse lubrique comme une crêpe, se précipita au fin fond de son trou du cul béant, boutonneux, et tapissé d'hémorroïdes. Finalement, Comme nous ne supportions vraiment les couinements hystériques de cette truie dégénérée, nous l'avons joyeusement dépecée à coups de dents. Nous rions encore de cette anecdote, nous vécûmes heureux, mais n'eûmes jamais d'enfants.