Les Russes
Les russes sont pauvres, et doivent toujours
fermer leur gueule. Bon, avec l'éclatement de la Russie, ces gags ne sont plus
tellement d'actualité...
- Nous en avons la preuve : Adam et Eve étaient russes : En effet, ils vivaient
à poil, ils ne pouvaient rien bouffer et ils se croyaient au paradis...
- Dans un bar, un américain, interpelle un russe au bar
- Hè ! Russkof ! Tu arrives, toi, à percer 5 pièces de monnaie en seulement
5 coups de pistolets ?
Et il joint le geste à la parole : Il prend 5 pièces, les jette en l'air,
dégaine, et PANPANPANPANPAN, les 5 pièces trouvées en leur centre ! Incroyable
!
- C'est normal, je suis Bill, Buffalo Bill !
Le russe :
- Et toi, t'arrives à baiser 5 femmes exactement en même temps
- Ben non ! C'est pas possible, forcément !
- Et ben si, regarde
Et le russe baisse son pantalon et son slip
- Tu vois, moi aussi je m'appelle Bill, Tcherno Bill
- Quelle est la différence entre un rouble et un dollar ?
- Un dollar
- Comment reconnaît-on un enfant né à Tchernobyl d'un autre enfant ?
- C'est le seul qui brille lorsqu'on éteint la lumière
- Combien de russes sont nécessaires pour prendre un bain ?
- 5: Un pour s'asseoir dans la baignoire et 4 pour lui cracher dessus jusqu'à
ce que la baignoire soit pleine.
- Pourquoi est-ce qu'il n'y a pas de doryphores en Russie ?
- Parce qu'il n'y a pas de pommes de terre
- Le bonheur, pour un français, c'est de se retrouver un soir dans un restaurant
5 étoiles, accompagné d'une créature pulpeuse à souhait, langoureuse que ça
en devient délicieusement insupportable... Le repas est exquis, le cigare
parfumé...
Puis vous montez dans la suite nuptiale...
Le lendemain, vous descendez et le maître d'hôtel vous apprends que tout cela
était offert...
Voilà LE bonheur pour un français !
Le bonheur, pour un russe, c'est d'être réveillé à 3h du matin par des coups
frappés à la porte.
Vous vous levez, tremblants, vous ouvrez la porte ; il y a 2 agents du K.G.B.
(sic !) dehors.
Ils demandent : "Ivan Petrovitch ?"
Vous répondez : "C'est en face"...
Voilà LE bonheur pour un russe !
- C'est l'histoire d'un russe qui a demande l'asile politique en France, a
une époque ou la Pologne était aussi penchée vers la démocratie que mon percepteur
vers le mécénat. Comme il est plutôt connu, une foule de journalistes l'attendent
en bas de l'avion.
Alors ? Monsieur Daissentaski, que pouvez-vous nous dire des droits de l'homme
en Pologne
- Lai droa de l'homme ? Of, on ne peut pas se plaindre
- Mais alors, parlez nous de la répression politique !
- La raipraition politisky ? Non, la non plus, on ne peut pas se plaindre
- Ben alors, pourquoi avoir demander l'asile politique ?
- Parce qu'en France on peut se plaindre, justement !
- Boris Eltsine fait une allocution publique
- Cher peuple, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer. La
bonne c'est que dans peu de temps, on va bouffer de la merde. La mauvaise,
c'est qu'en plus, il n'y en aura pas pour tout le monde.
- Un Russe se promène dans Moscou. Au détour d'une rue,
il aperçoit de nombreuses personnes en train de faire la queue.
Sans plus réfléchir, il se colle derrière et attend...
Une heure plus tard, alors que la queue n'a toujours pas avancé du moindre
millimètre, il questionne la dame devant lui:
- Excusez-moi, madame, mais pour quoi faisons-nous la queue ici?
- Ah, ça! Je ne sais pas moi. J'ai juste aperçu des gens qui faisaient la
queue, alors je me suis mise derrière. Demandez donc à la personne qui est
devant moi pourquoi nous faisons la queue!
- Je ne sais pas J'ai juste aperçu des gens qui faisaient la queue, alors
j'y suis allée... Et ainsi, de proche en proche, on remonte jusqu'à la deuxième
personne de la queue qui demande à la première pourquoi elle fait la queue.
- Ah, mais moi, je me promenais dans la rue, et je me suis arrêté pour refaire
mon lacet. Lorsque je me suis relevé, il y avait un monsieur qui attendait
derrière moi. Je me suis dit:
"C'est le coup de chance! Pour une fois que je suis le premier à faire
la queue, je reste !"
- Dans la petite ville d'un petit pays de l'est, on discutait tous les mercredi
de problèmes fondamentaux. De l'avenir de l'humanité et du communisme en général,
de la ville en particulier.
A la fin de la séance, le camarade Président se lève, et dit : "camarades,
y a-t-il des questions ?"
Une main se lève. "Je t'écoute, camarade Popov", dit le camarade
Président.
- Camarade Président, j'ai deux questions. Pourquoi les automobiles sont-elles
si chères, et pourquoi ne trouve-t-on plus de beurre?
- Camarade Popov, tes deux questions sont fondamentales, le comité va y réfléchir,
et t'apportera une réponse mercredi prochain
Le mercredi suivant, on discute de problèmes fondamentaux. De l'avenir de
l'humanité et du communisme en général, de la ville en particulier.
A la fin de la séance, le camarade Président se lève, et dit : "camarades,
y a-t-il des questions ?"
Une main se lève. "Je t'écoute, camarade Souslov", dit le camarade
Président.
- Camarade Président, j'ai trois questions. Pourquoi les automobiles sont-elles
si chères, pourquoi ne trouve-t-on plus de beurre, et où est passé le camarade
Popov?
- 3 russes au goulag:
- Moi, je suis arrive avec 5 minutes de retard, alors on m'a accusé de sabotage
- Moi, j'avais 5 minutes d'avance, alors on m'a accusé d'espionnage.
- Moi, j'étais à l'heure, alors on m'a accusé d'avoir acheté ma montre à l'Ouest
- C'est Georges Marchais dans un avion. Il va sauter en parachute. Le gars
lui explique:
- Alors voilà! T'as deux parachutes: un dans le dos, et un sur le ventre.
Tu sautes, et quand t'arrives à une certaine hauteur, t'ouvres le parachute
que t'as dans l'dos. Si le parachute que t'as dans l'dos s'ouvre pas, t'ouvres
le parachute que t'as sur le ventre... Et si le parachute que t'as sur le
ventre, il s'ouvre pas... ben... c'est fini
George saute! Il tire la languette du parachute qu'il a dans le dos... le
parachute s'ouvre pas! Il tire la manette parachute qu'il a sur le ventre,
le parachute ne s'ouvre pas non plus!!
A ce moment-là, un ange apparaît
- Je veux bien vous sauver... mais il faut crier "Vive l'impérialisme
américain"!
- Non mais attends, ça va pas la tête ou quoi? J'vais pas crier ça tout haut!...
Non, non, je ne crierai pas, je ne crierai pas!!!!
Mais Georges voit peu à peu le sol se rapprocher de lui...
- Alors, vous êtes prêts à crier: "Vive l'impérialisme américain"?!
- Bon, d'accord, mais c'est la première et la dernière fois!... VIVE L'IMPÉRIALISME
AMÉRICAIN !
Et là son copain Fitterman qu'est à côté de lui lui donne un coup de coude
et dit:
- Non seulement tu dors pendant les réunions, mais en plus tu trouves le moyen
de dire des conneries!!
- Un soviétique entre dans une boucherie.
- Bonjour camarade boulanger. Aurais tu du pain aujourd'hui ?
- Ah tu te trompes camarade. Ici, on n'a pas de viande !!!
- Un soviétique vient d'acheter après 15 ans d'économies la voiture de ses
rêves: une Lada, forcément !
Le vendeur lui dit :
- Parfait camarade, viens la chercher le 6 Avril 2003 à 10 h.
- Quoi, mais c'est pas possible !
- Quoi, camarade, le délai ne te convient pas ?
- Mais c'est le jour où on doit me livrer mon frigo !!!